[Personnage] Morlun

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Pseudo : Morlun
Classe : Gladiateur
Niveau : 51
Grade : Général
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Son histoire



C'était il y à quelque année maintenant, mais je m'en souviens comme si c'était hier.
Je vivais avec ma mère dans un village de Verteron, un petit paradis près d'une cascade non loin de la Forteresse, je vivais pleinement ma vie. J'allais à la chasse, travaillant à la ferme et aidant comme je le pouvais dans ce petit village qui était le mien. Parfois, des aventuriers passais par là, des Deava engager dans une guerre interminable, une guerre qui commença bien avant ma naissance, mais cette guerre ne m'intéressais pas.

J'aurais pu faire comme tous mes amis et partir faire mon ascension à Poéta, mais j'avais peur de laisser ma mère seule, elle n'avait que trop souffert par le passer, la guerre et...et mon père, un père absent, un guerrier pris dans un combat sans fin pour satisfaire les désires de Dieu qui nous ont abandonné. Enfin tout ça pour dire que je ne voulais pas partir, mais la vie en décida autrement...mais je m'avance un peut trop dans l'histoire.

Ma vie était donc paisible, ma mère et moi vivions de ce que nous récoltions. Hum...m'a mère, une femme des plus banale pour certain, mais pour moi c'était la femme qui devrait avoir son nom gravé dans l'histoire d'Astreïa.
Une femme au long cheveux d'or, des yeux bleu comme l'océan, un corps si mince qu'on aurait peur de casser au moindre câlin. Chose qui n'était pas totalement faux puisque sa santé ce dégradais au file des années, mais elle avait toujours un sourire pour moi. Parfois, le soir avant de ce coucher je la voyais prié Aion pour le bien être de mon père, cela m'agaçais car il ne faisait rien pour nous aider. J'étais trop jeune pour me souvenir complétement de son visage, mais mère me contait ses voyages épique dans les Abyss mais aussi ce quelle pensait de lui.
Un homme d'une grande gentillesse, beau et fort, mais pas très malin. Elle me racontait aussi leur première rencontre.

Il revenait de temps en temps dans son village natale, notre village, elle voyait mais n'osait pas l'aborder et lui non plus apparemment. Il était déjà un homme au service de la guerre, dans une Légion au service de Aion, les Héritiers D'Aion ils ce faisaient appeler dirigé par un Sorcier du nom de Karnal. Elle ne faisait que dire du bien des gens qui de cette Légion, mais m'a rancune m'empêchait d'écouter, je lui en voulait tellement de la laisser seule, de nous laisser seuls et partir pour protéger les autres, et nous? Qui nous protège nous? Faire passer le bien des autres avant sa propre famille, c'était pour moi de l'égoïsme. Du moins c'est ce que je cru jusqu'à avoir un certain âge, l'âge de raison comme disent les anciens.

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Après plusieurs années sans histoire, un homme apparu devant le pas de notre porte. M'a mère était contente de le voir, à vrai dire je ne savais pas pourquoi. Mais son sourire fut de courte durée et les larmes remplaça vite la joie sur son visage, l'homme venait de lui apprendre la mort de son époux, elle s'effondra et commença à tomber dans les pommes, l'homme vêtu de noir la rattrapa avant que j'ai eu le temps de comprendre ce qu'il ce passait. Il l'a déposa dans son lit et la recouvrit. Il tourna la tête dans ma direction je ne pu voir son regard car il était caché par une capuche, mais une chose me perturba et une étrange sensation remonta le long de ma colonne vertébrale, une sensation froide et douloureuse. Une larme coula du visage de l'homme, une seule et et unique larme qui cassait la froideur de son visage.

L'homme m'appela par mon prénom et me demanda de m'assoir. Il m'expliqua qui il était, c'était un sorcier des Héritiers, il parfois donné des nouvelles de mon père à ma mère quand celui-ci était en mission. Il me précisa que personne à par lui savait mon existence et qu'il était chargé de protéger m'a mère si quelque chose lui arrivait, mon père n'était donc pas un homme qui abandonnait femme et enfant...il m'expliqua aussi que cette fois-ci il n'était pas venu par plaisir, mon frisson recommença. Il ne savait pas comment me le dire, alors il mis la main sur mon front et me montra...il me montra la mort de mon père.

Les larmes coula toute seule, l'homme était mort en protégeant les Elyséen d'une menace Asmodienne, non, il était mort pour protéger Karnal. Je repoussa la main du sorcier avec violence et m'écarta de lui, mes larmes ne s'arrêta pas de couler, une sensation étrange en moi m'empêchait de croire à ce que l'Elyséen me montrait...je crois que au fond de moi j’espérais toujours qu'il revienne et qu'on forme une vrai famille.
La douleur intense dans ma poitrine m'empêchait respirer. Le sorcier ne voulait pas perdre de temps avec un pleurnichard alors il me fit assoir avec je ne sais quel tour de magie, mais j'ai exécuté.

Il m'expliqua ô combien il avait parti, pas seulement un compagnon d'arme mais aussi un ami, une personne qui ce battait pour ne plus devoir ce battre. Un homme qui portait une souffrance, une douleur de père abandonnant sa famille mais il le faisait pour nous et pour Astreïa. Il rêvait d'un monde ou tout le monde vivraient en harmonie, Elyos comme Asmodien.
Il expliqua par la suite, avec le décès du Général de Légion Karnal, les Héritiers n'avait plus de raison d'exister. C'est pourquoi il venait aussi aujourd'hui, il espérait que j'intègre la Légion, il eu à peine le temps de finir son discours que je refusa, ma colère avait remplacer mes larmes.
Je lui cria dessus de toute mes force, il était venu chez nous et avait fait du mal à m'a mère, il espérait que je me joigne à eux! Il en était hors de question.
Il ne dit plus un mots et disparu dans un portail. Au même moment mes lien disparaissait et rejoignit ma mère à son chevet.

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Durant la nuit qui suivit l'arrivé du Sorcier, ma mère ouvrit les yeux quelque instant, assez longtemps pour me regarder, me tenir la main et me fit promettre une chose. Elle me demanda de suivre les traces de mon père, quelle était heureuse qu'il soit mort en défendant ses idéaux, et je lui rappelais beaucoup l'homme quelle aimait. Je refusais sur l'instant, je ne voulais pas la laisser seule dans son état, elle sourit et ce rendormis.

Quelque mois après m'a mère était de nouveau sur pied, toujours avec son sourire, nos vie avaient repris leurs court habituel. Mais c'était sans compté sur Furblos qui était de retour devant notre maison, m'a mère le salua et l'invita à entrer. Il ne passa par quatre chemin et fis apparaitre un énorme coffre, il l'ouvrit et sorti une armure.
Il nous expliqua que c'était l'armure de son mari, mon père. Il expliqua aussi que le guerrier aurait voulu quelle me revienne, j'hésitais mais durant ces long mois j'avais bien réfléchis, m'a mère souffrirais encore plus si j'oubliais l'existence de mon père, elle voulait que je lui succède, que je devienne un guerrier aussi talentueux que lui. C'est pourquoi je pris l'armure, au moment ou je l'a toucha l'armure vibra et brilla de mille feu, elle changea de forme comme si l'armure était doué d'une conscience. Elle ce fixa sur moi, alors que je réalisé à peine ce qu'il ce passait, Furblos fis apparaitre une énorme guisarme tout en m'expliquant que j'avais sa dans le sang, que j'étais le fils de Majin, j'étais un guerrier née!

M'a mère ému par la scène et voyant son fils prendre la bonne décision ne pu s'empêcher de verser des larmes de joie, l'âme de mon père flamboyait en moi, je me sentais envahir d'une immense puissance, une puissance qui jusque là j'ignorais l'existence.
Le sorcier expliqua la suite des évènements, je devais partir avec lui à Poéta et faire mon ascension pour officialisé le tout, que je devienne un véritable Gladiateur...ce que je ne savait pas, c'est que j'allais devenir le nouveau Général de Légion des Héritiers...

Mais ça, c'est une autre histoire...

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